Naomi Baki, l'auteure sud-soudanaise qui plaide pour le pardon
Dans le contexte dramatique des combats qui dévastent la jeune nation sud-soudanaise, besoin d'un rayon de soleil? Cap sur l'auteure sud-soudanaise Naomi Baki, dont l'extraordinaire ouvrage, Je suis encore vivante (2013, ed. Le Cerf), continue à nourrir une attention médiatique ô combien méritée.
Et si son accent vécu sur le pardon était une clef pour résoudre les haines recuites entre chefs de guerre? On écoutera avec grand profit cette émission sur Europe 1, où Naomi Baki s'exprime dans un français remarquable (elle n'est arrivée en France qu'en 2011 comme réfugiée), et il faut lire aussi ces beaux reportages dans l'hebdo Réforme (lien), et l'hebdo La Vie, ce dernier étant signé Henrik Lindell (lien).
Et si son accent vécu sur le pardon était une clef pour résoudre les haines recuites entre chefs de guerre? On écoutera avec grand profit cette émission sur Europe 1, où Naomi Baki s'exprime dans un français remarquable (elle n'est arrivée en France qu'en 2011 comme réfugiée), et il faut lire aussi ces beaux reportages dans l'hebdo Réforme (lien), et l'hebdo La Vie, ce dernier étant signé Henrik Lindell (lien).
Commentaires
Enregistrer un commentaire