Un chirurgien sud-soudanais honoré
Le docteur Evan Atar Adaha se voit distinguer pour l’année 2018 par le Haut-Commissariat pour les réfugiés des Nation unies.
Retirer un kyste, opérer une thyroïde, pratiquer une césarienne. Les jours « normaux », la vie d’Evan Atar Adaha ressemblerait presque à celle d’un chirurgien comme un autre. Si ce n’est que ce médecin sud-soudanais travaille dans une salle d’opération éclairée par une faible ampoule, à la merci de générateurs électriques capricieux, sans banque de sang et souvent sans machine d’anesthésie en état de marche et qu’il remplace par des injections de kétamine, faute de mieux.
Lire la suite ici (Le Monde).
Retirer un kyste, opérer une thyroïde, pratiquer une césarienne. Les jours « normaux », la vie d’Evan Atar Adaha ressemblerait presque à celle d’un chirurgien comme un autre. Si ce n’est que ce médecin sud-soudanais travaille dans une salle d’opération éclairée par une faible ampoule, à la merci de générateurs électriques capricieux, sans banque de sang et souvent sans machine d’anesthésie en état de marche et qu’il remplace par des injections de kétamine, faute de mieux.
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