[Lettres du monde] Bakhita, la chanceuse
C’est en visitant Langeais, sur les bords de la Loire, que Véronique
Olmi a appris l’existence de Joséphine Bakhita, la patronne du Soudan.
Dédier une église de Touraine à une sainte africaine, cette manœuvre
audacieuse vient d’un ecclésiastique atypique : Emmanuel Lafont a exercé longtemps son ministère à Soweto, puis a regagné un temps son diocèse de Tours avant de repartir comme évêque de Cayenne en Guyane.
Personne ne connaît le vrai prénom de cette petite fille du Darfour. Bakhita, « la chanceuse » est un surnom arabe donné par les esclavagistes qui l’ont enlevée à l’âge de six ans. Peut-on vraiment parler de chance quand on est arrachée aux siens, forcée à marcher, mal nourrie, battue, tatouée, vendue et revendue ? Certainement pas, mais l’enfant montre un calme à toute épreuve, beaucoup d’empathie à l’égard de ses codétenus, une résilience hors du commun.
Lire la suite ici (RFi).
Personne ne connaît le vrai prénom de cette petite fille du Darfour. Bakhita, « la chanceuse » est un surnom arabe donné par les esclavagistes qui l’ont enlevée à l’âge de six ans. Peut-on vraiment parler de chance quand on est arrachée aux siens, forcée à marcher, mal nourrie, battue, tatouée, vendue et revendue ? Certainement pas, mais l’enfant montre un calme à toute épreuve, beaucoup d’empathie à l’égard de ses codétenus, une résilience hors du commun.
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