A Juba, la Baobab House, l’atelier-bar « où l’on peut être qui on veut »

Un souffle de liberté émane de cet espace, véritable bulle où l’on échappe, le temps d’un concert ou d’une nuit blanche de discussions enivrantes, aux tourments et aux contraintes de l’extérieur. « Ici, on peut être qui l’on veut, on n’a pas la pression... Lire l'article de Florence Miettaux (Juba, correspondance) ici ( LE MONDE )