Quand l'industrie de la mode exploite les Sud-Soudanaises...


"Des mannequins sud-soudanaises 

seraient recrutées puis renvoyées 

endettées dans l’un des plus grands 

camps de réfugiés au monde"


Chacun rêve de dénicher “sa” Adut Akech ou Aweng Ade-Chuol, deux supermodels sud-soudanaises qui sont passées par le camp Kakuma. Pour dénicher la perle rare, les agences européennes, comme Select Model, font appel à des agences africaines, comme Isis Models, qui vont sur place pour caster des jeunes filles et envoient les profils les plus prometteurs en Europe.
Sur le papier, cela ressemble au rêve américain : une fille pauvre qui a grandi dans des camps qui finit par défiler à New York, Londres, Paris et qui réussit à sortir toute sa famille de la misère. Mais concrètement, ça se finit souvent mal, avec un retour à la réalité brutal et quelques grosses dettes, même si les agences affirment le contraire.

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